Madagascar une destination lointaine
Au large de l’Afrique australe, entourée d’un large éventail d’archipels, l’île de Madagascar est une destination lointaine. À près de 8000 kilomètres de la mer du nord, l’ile a un climat tropical loin des températures froides du nord.
Un bout de l’empire colonial au milieu de l’océan indien. Le lieu est un lieu de voyage éloigné au bout du monde.
Madagascar, ou une destination de choix, est un pays francophone, où on parle le français de l’ère coloniale.
De nombreux sites touristiques, réserves, et lieux historiques sont répertoriés dans l’île. Et il existe, également, des lieux non classés à voir au sein de l’île.
Madagascar, la grande île, où l’île rouge, garde un lien fort avec la France (elle y est présente depuis les années 1400) à travers la francophonie et d’autres organismes.
Dans cet article, nous vous parlons de cette destination lointaine, de ses liens avec la France, et nous vous fournissons nos trouvailles peu connues et non répertoriées que nous souhaitons partager avec vous. Accrochez-vous.
Historique de l’île.
Colonisé entre 1897 et 1946 les terres malgaches, ont été découvertes dans les années 700 – 1300 par des commerçants. À l’époque l’ile est habitée, on vit dans l’île entre tribus et clans. La colonisation de l’île malgache débute en 1897 elle s’est effectuée sous le gouvernement Joseph Gallieni. L’île a vocation d’être une colonie de peuplement et de collecte de ressources. Il connaît un régime royal, le régnant perdure avant et pendant la colonisation. La monarchie s’étiole après l’indépendance de l’île.
L’île est à cette époque peuplée d’indigènes, d’autochtones, et de colons.
Durant la colonisation des routes, des rails, et des canaux voies d’eau, sont installés pour transporter les marchandises de l’île : nickel, cobalt, poivre et girofle etc.. Lors de la colonisation le territoire est organisé en protectorat. Le régime de l’indigénat est également installé durant la colonisation. Les terres de Diego-Suarez, l’île de Sainte Marie, et Nosy be appartiennent aux du territoire du joyau imerina. Elles sont rattachées aux propriétés de la France.
Par ailleurs, durant les 64 années de la colonisation, la langue française est enseignée dans tous les établissements. Elle devient la langue officielle de l’île.
La francophonie.
Après la décolonisation en 1961 Madagascar garde de nombreux vestiges du passage de l’ère coloniale. Les langues officielles sont le malgache et le français. De nombreux établissements administratifs datent l’époque coloniale, idem pour les routes.
On trouve à Madagascar le troisième plus grand lycée français d’Afrique, le lycée français de Tananarive à Ambatobe. Une importante communauté française y demeure et une frange importante de la population possède les deux nationalités.
Par ailleurs, réside à Tananarive l’alliance français à Andavamamba. Une institution qui promeut la langue française, et la francophonie. Madagascar compte plusieurs écoles homologuées où l’on enseigné la langue française et suit le programme des établissements du sol français.
La grande île accueille tous les ans des événements, mettant à l’honneur la francophonie et le vivre ensemble. Il s’agit de festival permettant aux résidents français et aux habitants de la capitale de célébrer la langue française et la France.
La fête de la musique à 21 juin.
Le carnaval de mardis gras.
Et la course de couleurs du mois d’octobre.
Voilà parmi des événements qui ponctuent la vie des habitants de la capitale. Ils sont des moments de joie collective, ou chants et danses sont ordinaires et sollicités.
Nos petites trouvailles:
Carnaval de Diego Suarez
Si nous vous avons parlé de chants et danses dans les lignes précédentes, notre première petite trouvaille, notre première destination non répertoriée est le carnaval de Diego-Suarez. Il se dégage une aura propre à l’événement. Dans le lieu de la samba, des couleurs, des déguisements et des chants.
Les dates du carnaval ne sont pas fixes et elle a lieu une fois sur deux, néanmoins lorsque l’événement à lieu il se fait dans les rue de Diego-Suarez entre agitation, fête et tranquillité.
Nous on aime bien, on trouve le carnaval et les rues de Diego Suarez tiptop, c’est pourquoi on l’a mis dans cet article. Faites comme dans ce film connu américain, participez à un carnaval itinérant. Ça appartient au folklore, c’est pour cette raison que nous le mettons dans cet article, évidemment ne vous faites pas agressé ni autre, racontez le à vos amis plutôt, hahaha et montrez leur notre article.
Les escaliers d’Antananarivo.
Les escaliers d’Antananarivo, le nom de cette trouvaille est parfaitement dégotée. Ils s’agit des marches qui se trouvent en dessous des lettrines de la ville. Les marches se trouvent dans la haute ville dans le quartier de la haute. C’est un endroit très apprécié par les amoureux de la ville pour se frôler, et se faire des caresses. Le lieu est clos entre 21h et 5h30 du matin même s’il s’agit d’une voie de communication fréquentée. Les escaliers sont dans une ruelle.
Parcs d’Andasibe.
Notre dernière trouvaille sont les sentiers en forêt d’Andasibe. On trouve à Andasibe le Parc national d’Andasibe, il abrite, le parc où loge les indri indri, et une réserve végétale. Il s’agit d’une aire protégée. Par ailleurs, dans les alentours il existe des circuits annexes très intéressants à qui aime marcher. Vous y trouverez des circuits ornithologiques, des circuits en forêt primaire, des circuits vers des cascades. Allez-y et trouvez le bonheur, la sérénité, l’apaisement, l’équilibre, la quiétude dans les bois primaires.