Les filières qui portent à Madagascar

Madagascar est un pays avec un PIB de 16,3 milliards de dollars, 173ème économie du monde sur 191 pays, la grande île est un pays en progrès. La grande île, 5ème île la plus grande du monde, est une plaque tournante de l’économie de l’océan indien. En croissance sur la variation de son PIB, mais aussi sur le nombre totale de sa population actives, Madagascar connaît des succès dans le domaine de la culture, le domaine économique, ou manufacturier.

Dans cet article, nous revenons avec vous sur ses filières qui portent à Madagascar, quels sont les colonnes de l’économie de la grande île, on vous dit tout.

Extractions minières:

Premier secteur en termes d’investissements étrangers, l’extraction minière est une industrie importante de l’île. Le travail du sol, l’extraction de minéraux, la vente de minéraux, sont des actions courantes et créatrices d’emplois dans la grande île : 40% des exportations de l’île proviennent du travail du sol.

Les entreprises qui sont retrouvées à Madagascar sont Rio Tinto le géant Canadien, Sumitomo un représentant du continent Japonais, Korea Mine Rehabilitation and Mineral Resources Corporation (KOMIR) le représentant Sud Coréen, et Bolloré Africa Logistics un représentant français.

Les minerais provenant du sol à Madagascar sont : cobalt, le fer, le nickel, l’or, le chrome, le saphir, le rubis.

Ses métaux sont utilisés dans l’industrie des transports, dans la joaillerie, le btp.

À Madagascar, l’extraction des minéraux provenant du sol est placée sous l’autorité du ministère des mines. Il nécessite un permis minier pour extraire des minerais en quantité industrielle.

Les lieux de forages sont généralement des bassin d’emplois employant des entreprises et de la main d’oeuvres dans tous le spectre de l’économie malgache. Il concerne pour les entreprises : entreprise de transports, entreprise de restaurations, entreprise de services. Pour les habitants sur place, tous les métiers sont recherchés, ingénieurs, traducteur, designers, ouvriers d’exploitations.

En 2024, un projet de construction d’une raffinerie d’or est mis en place par le gouvernement. Le projet est en co-opération avec les Émirat arabes unis en vue de produire 15 tonnes de lingots d’or par an.

Madagascar est un grand exportateur d’or, il s’agit d’une ressource que le pays exporte en masse dans le monde entier.

Secteur touristique :

Deuxième secteur économique de Madagascar avec un revenu net de 90 millions d’euro par an, le secteur touristique est une industrie qui emploie le plus d’individus dans l’île. Madagascar a accueilli 1 milliard de touristes de 2020 à 2025, c’est une destination touristique importante du contient africain : Madagascar abrite une faune et flore endémique à l’île rendant l’île unique à d’autres destinations touristiques.

Dans l’île, les métiers du tourisme sont des métiers qui sont en pleine expansion, on y trouve de nombreux établissements d’enseignement de langue : ELF pour le français, ELC pour l’anglais, Espresso pour l’italien, et les cours de langue chinois pour le mandarin et le cantonais.

De même, on trouve à la capitale de l’île des écoles d’hôtelleries, on retrouve par exemple le prestigieux établissement d’enseignement supérieur Vatel. Le secteur touristique recrute et forme de nombreux jeunes au sein de l’île.

De plus, en dehors de l’île le secteur continu à séduire de nombreux jeune car pléthore d’entre eux suivent des enseignements dans le domaine en allant étudier à l’étranger.

Services :

Télécommunication

Madagascar est une île connectée, on a sur l’île le réseau 3G 4G et 5G, aussi 85% de l’île est recouverte de réseau téléphonique. En pleine expansion, les services de télécommunication génèrent aux environs de 1,5 milliard d’euros de revenus par an. L’île possède trois opérateurs téléphoniques et compte plusieurs milliers de revendeurs d’appareils téléphoniques.

Le secteur est bien portant, les usagers sont réguliers, et le marché des appareils se renouvelle rapidement.

Externalisation

L’externalisation de service est le deuxième pilier de l’économie malgache en termes de service. Madagascar est un pays hôte de nombreuses externalisations de services. Pour cause, le pays dispose d’une main d’oeuvre compétente bon marché dans les services tertiaires : services de gestion comptable, service de développement informatique, service de prospection commerciale, autant de services qui sont externalisé à Madagascar.

Les externalisations de service sont généralement effectuées par des entreprises francophones à fortiori entreprises françaises PME ou moyennes entreprises.

L’externalisation de services par des entreprises anglo-saxon est aussi présente dans l’île, ils concernent essentiellement les services des nouvelles technologies.

Zone franche :

Pour obtenir une zone franche à Madagascar, il faut faire une demande d’exercice d’une activité en zone franche adressée à l’EDBM, accompagnée d’un dossier comprenant les formulaires établis par l’EDBM dûment remplis.

Les zones franches sont accordées aux personnes morales replissant les conditions fiscales, légales, douanières, environnementales et sociales. Elles sont disponibles pour les établissements de manufactures, de coutures, d’aménagement pharmaceutique, d’aménagement de matériaux de construction ou autres activités.

Les zones franches sont en regèles générales exonérée d’impôt durant les 15 premières années d’exploitation, ensuite elles suivent les conditions spécifiques imposées par le demandeur.

L’agriculture :

Dernier pilier de l’économie à Madagascar, l’agriculture est un domaine d’activité qui concerne le peuple : l’activité est exercée par près de 80% de la population de manière vivrière. Les semences cultivées sont les graines de mais, les graines de soja, les graines de riz, manioc, et légumes et fruits potagers.

Les cultures se font de façon traditionnelle et occupent grands et petits. Dans les campagnes où l’on fait la culture des denrées céréalière, on retrouve des savoir faire qui se transmettent de manière orale au sein de la localité.

Près de 3 241 230 tonnes de riz est produit par Madagascar annuellement, il s’agit de près du 10ème de la consommation de riz du pays. Le mais est produit à hauteur de 260 494 tonnes par an.

Lorsqu’il n’est pas destiné à l’alimentation des ménages, les produits de l’agriculture malgache servent à alimenter le bétail de chevaux, bœufs, vaches, chèvres, moutons, et porcs.

L’agriculture est l’activité par défaut de chaque paysan à Madagascar.